Les Sensorielles en Argentine

L'édition 2024

1^er Juin 2024

Après un voyage inaugural vers l’Arménie en 2023, les participants de la deuxième édition des Sensorielles ont traversé l’Atlantique, direction l’Argentine et ses mille facettes.

L’occasion pour tous de s’immerger, au travers du vin et des cinq sens, dans la riche culture de ce grand pays viticole, mais aussi de découvrir ou de redécouvrir les vins des vignerons du Cellier du Pic.

Revivez en images les moments forts de ce moment suspendu qui en a émerveillé plus d’un !

Retour en images sur la deuxième édition

Les artistes

Très Raices

Concert

Très Raíces est un groupe musical passionné qui éveille les sens et transporte son public dans un voyage musical inoubliable à travers l’Argentine et l’Amérique latine. Ils croient en la capacité de la musique à créer des souvenirs précieux et à rassembler des âmes de tous horizons.

Leur histoire, est avant tout une histoire de passion et d’amour pour la musique. Le groupe est composé de 4 à 6 musiciens talentueux, parmi lesquels Carlos Barrionuevo, un musicien polyvalent et charismatique, qui incarne le coeur et l’âme de Très Raíces. Leur répertoire est une mosaïque de sonorités qui touche en plein coeur. De la cumbia rythmée aux chansons folkloriques argentines chargées d’émotion, en passant par les classiques latino

Aude B.

Fresque

Née au début des années 1990, Aude Brouiller grandit en région parisienne et s’oriente très tôt vers une formation artistique. Elle poursuit sa formation à Montpellier, où elle y rencontre un cercle d’artistes qui l’encouragent dans sa création et commence à explorer différentes techniques (peinture, linogravure, sérigraphie, sculpture, fresque murale…). Dans ses créations, Aude B. s’attarde à parler d’émotions brutes et capture le sensible à travers des scènes oniriques, vivantes et vibrantes.

À la manière des surréalistes et des naïfs dont elle s’inspire, Aude B. place l’inconscient et le rêve au coeur de sa recherche artistique, et parvient à créer un univers où l’étrange côtoie la poésie dans une esthétique singulière. Elle questionne la dualité de l’être, la frontière entre le rêve et le cauchemar.

Marina Gilabert

Exposition et démonstration(s) de tango

D’origine franco-argentine, Marina danse les danses traditionnelles argentines et le tango depuis son enfance, dans un cadre familial et social. Elle a reçu un enseignement académique de la danse classique
et de la danse contemporaine en conservatoire. Son travail avec les chorégraphes contemporains est constamment enrichi par les danses traditionnelles, qu’elle considère comme l’essence de la danse : la musicalité, les émotions, la relation. En retour, elle applique les techniques acquises dans sa formation académique pour des créations de danse traditionnelle, situant ainsi sa danse au croisement de la tradition orale et de l’académisme.

Au-delà des spectacles qu’elle visionne, Marina trouve son inspiration dans l’expérience sensorimotrice des rencontres dansées, que ce soit dans un cadre familial, d’apprentissage ou professionnel. Sa première influence artistique est celle de sa famille et des habitants de Salta en Argentine, qui lui ont transmis la liberté corporelle et musicale par le jeu et l’interprétation.

Mathieu Renault

Exposition

Formé aux métiers du livre à Paris, où il fait à l’occasion quelques fresques sur les murs métropolitains, c’est véritablement au cours de ses voyages en Amérique latine qu’il se forme à la création plastique : le sens des couleurs et leur asservissement au regard au milieu de la cohue humaine dans le coeur de Sao Paolo et si possible au pied d’une pile de pont, l’ennui de la ligne droite parmi les grandes diagonales des avenues de la Cordoba argentine ou le clair-obscur à l’ombre miroitante des gratteciels crasseux de Panama City.

S’emparant du « lacéré anonyme » cher à R. Hains et J. Villéglé dès les années soixante, de cet accident qui fait se rencontrer les trames de couleurs et de textes des affiches pour créer, par déchirement spontané, un paysage pictural sur les murs même de la ville, Mathieu Renault creuse toujours plus encore les couches de papiers pour leur faire rendre toute leur poésie : elles sont les mues de la ville.